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Comprendre l'amour
           

Définir l'Amour ?

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L’amour est un sentiment, une valeur, ou une énergie dont l'importance est universellement reconnue. L'Intérêt pour l'autre, le besoin de l'autre, l'attachement et la fidélité sont autant de preuves d'amour dans la pensée occidentale. Il se définit aussi selon cette même pensée comme l'aspiration à former un tout avec un autre.Le véritable amour est souvent qualifié d' "amour inconditionnel" , c'est à dire un amour sans conditions.

Il est à noter que la conception exclusive de l'amour n'est pas partagée par tous, la philosophie du polyamour montre que cette relation peut s'établir entre plus de deux personnes. De même l'appartenance à deux sexes différents ne définit pas l'amour, comme le prouve l'homosexualité. Ainsi l'expression de ce sentiment revêt des formes culturelles diverses. Son détachement de la reproduction, nécessité instinctive, au cours du XXème siècle par la contraception et l'acceptation de nouvelles sexualités, montre qu'il est plus une construction humaine qu'animale. Cependant le désir, constituant essentiel de l'amour, rapproche l'Homme de son origine animale.

Dans l'esprit humain contemporain, le mot est galvaudé autour de la sexualité et de ses acteurs : L'amour d'un couple plus ou moins éphémère ou fidèle, de ses enfants s'il en a, de ses parents et grands-parents et par extension de certaines de ses relations proches. Ce sentiment est donc une base sur laquelle se fonde la société à travers l'une de ses principales émanations : la famille. Lorsque la composante physique qui accompagne généralement l'amour ne peut être satisfaite, on parle d'amour sublimé.

Sommaire

Définition dans la Grèce antique

Ce que nous désignons sous le terme d'amour, recouvre trois sentiments distincts de la Grèce antique : l’éros, la philia, et l’agapê.

  • La Philia se rapproche de l'amitié tel qu'on l'entend aujourd'hui, c'est une forte estime réciproque entre deux personnes de statuts sociaux proches. Elle ne pouvait exister à l'époque qu'entre deux personnes du même sexe, du fait de l'inégalité entre les sexes.
  • L’Eros désigne l'attirance sexuel, le désir. Il est l'une des passions néfastes que produit l'épithumia dans la pensée platonicienne. Cependant il pouvait se méler à la philia à travers la pédérastie.
  • L’Agapê est l'amour du prochain, une relation univoque que l'on rapprocherait aujourd'hui de l'altruisme. Il se caractérise par sa spontanéité, ce n'est pas un acte réfléchi ou une forme de politesse mais une réelle empathie pour les autres qu'ils soient inconnus ou intimes. Dans la tradition chrétienne des Pères de l'Église, ce mot est assimilé au concept de charité, bien que celui-ci soit plus proche d'une relation matérielle établie avec des personnes en souffrance. L’agapê originel ne revêt pas cette connotation morale de responsabilité devant une autorité divine.

 

 

Diverses définitions

Le terme amour ainsi recouvre de multiples signifiés selon le contexte :

  • L'amour est une attirance envers un certain être. Celle-ci peut être alors sexuelle, passionnelle ou rationnelle.
  • Par extension, c'est un sentiment puissant d'affection particulière pour une personne, un objet ou une entité abstraite : amour des parents pour les enfants, amour de la patrie, du jeu, du luxe, etc.
  • Il désigne parfois l'inclination sexuelle. L'expression faire l'amour est ainsi un euphémisme pour une copulation. Cependant, au XVIIIe siècle, et dans le théâtre de Molière et de Racine, elle signifie « parler d'amour », dans le goût des ruelles (cf. Honoré de Balzac « Parler d'amour, c'est faire l'amour »).

Les images culturelles de l'Amour

À toutes les époques, l'amour, « la seule obsession que tout le monde désire », a inspiré les artistes de toutes disciplines. C'est un thème artistique récurrent et majeur avec le Temps qui passe et ses deux conséquences : le vieillissement et la mort.

Les religions et l'amour

Dieu est amour pour les chrétiens

Saint Jean a écrit ceci dans sa première épître : «Quiconque aime est né de Dieu et parvient à la connaissance de Dieu. Qui n'aime pas n'a pas découvert Dieu, car Dieu est amour…». Et Jacques : « Comment peux-tu dire que tu aimes Dieu que tu ne vois pas si tu n’aimes pas tes frères que tu vois ? »

Le nom hebraïque de Dieu, YHWH, revelé à Moïse signifierait : « Je serai ce que Je serai » ou « Je serai ce que j'étais », traduisant la présence éternel de Dieu auprès du peuple élu et sa constance. L'amour de Dieu est un amour protecteur, l'amour du Père. C'est un amour absolu et inconditionnel pour le croyant. Mais c'est aussi un amour qui l'invite à prendre des risques, jusqu'à celui de mourir pour ceux qu'il aime. Dans la Bible, Jésus dit : « Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis ». Cet amour l'aurait conduit à sa Passion et à sa résurrection. Dans le cantique des cantiques, un poète chante, au nom de Salomon, un amour intime et sensuel, entre un homme et une femme. Ce texte atypique dans la Bible a poussé de nombreux théologiens, à la suite d'Origène, à y lire une représentation symbolique de l'amour entre Dieu et les hommes et de la relation entre l'âme et le Verbe. Cet amour dure toute la vie.

Les théologiens expliquent également que Dieu a voulu créer le monde par un acte d'amour. Saint Paul qualifie l'Église d'« épouse du Christ».

Le pape Benoît XVI a consacré sa première encyclique à l'amour chrétien sous le titre Deus Caritas Est, que l'on peut traduire par « Dieu est charité » ou « Dieu est amour ». L'amour au sens chrétien inclut en effet, au-delà de l'amour eros, par lequel on désire l'autre, l'amour agapè, en vertu duquel on donne à l'autre de manière inconditionnelle. L'agapè se rapproche de la « charité » exercée par l'Église. C'est de cet amour-charité, plus que de l'amour entre un homme et une femme, que parle le plus souvent le Nouveau Testament, par exemple dans le célèbre chapitre 13 de la Première épître aux Corinthiens : «  ces trois choses demeurent : la foi, l'espérance, l'amour ; mais la plus grande de ces choses, c'est l'amour ».

Dans la culture occidentale

L'amour à travers les âges

L'amour de soi

La sagesse populaire, comme la psychologie, a remarqué que celui qui ne s'aime pas ne peut pas aimer.

Des observations faites dans des milieux très défavorisés ont montré qu'une femme à qui on donne les moyens de prendre soin de sa présentation commence à se ressaisir et à reprendre espoir. Dans d'autres situations on remarque que des échecs mal vécus, de toutes natures, ont des retombées sur la capacité d'aimer. Cette amour de soi est en général associé avec la notion de dignité. Elle est protégée juridiquement par les droits de l'homme.

D'une manière générale, sans s'étendre ici sur les excès possibles, les luttes sociales pour la dignité des personnes, les syndicalismes, les associations, certains conflits politiques, notamment pour le respect des minorités, apparaissent comme le prolongement de l'amour de soi pour les personnes concernées et le soutien à ces personnes comme l'amour de l'autre pour les personnes tierces.

Les kamikazes posent d'une manière radicale la question de l'amour de soi et du sacrifice de sa vie.

Dans les cultures marquées par le christianisme, le célèbre verset de l'Évangile, « aime ton prochain comme toi-même », laisse entendre que l'amour de soi est plus facile que l'amour de l'autre, et qu'il peut être une référence pour aimer les autres.

Les réflexions critiques, internes et externes, à l'égard de certaines pratiques chrétiennes radicales ont fait apparaître qu'une éducation trop centrée sur l'amour de l'autre peut engendrer des catastrophes psychologiques s'il est accompagné du mépris de l'amour de soi. Selon un certain consensus théologique, ces éducateurs ne comprendraient pas que l'amour absolu du Christ qui «donne sa vie» ne passe pas par le mépris de soi, mais par la conscience d'un plus grand amour, au-delà de la vie humaine, qui appelle éventuellement au sacrifice de sa vie dans certaines circonstances perçues dans la prière et non pas dans un pli éducatif à prendre, imposé par des considérations humaines transformées en idéologie.

L'amour de la patrie

Lorsque l'on éprouve un fort sentiment d'amour pour son pays, parce que l'on aime les gens qui l'habitent, l'art de vivre de ses habitants, la culture, la musique, les arts, les sciences et les techniques que ce pays a su développer dans son histoire, on dit que l'on aime la patrie.

Les interprétations cognitives de l'Amour

Psychisme

Sur le plan psychique, la psychanalyse a clairement montré à quel point les premières relations parents-enfants étaient déterminantes dans l'esprit d'une personne et de sa perception de l'amour. Les relations mère-fils ou père-fille, notamment, sont particulièrement marquantes. Les relations parents-enfants sont généralement déséquilibrées : le parent répond aux besoins de l'enfant. On dit dans ce cas que l'amour de l'enfant est captatif et celui des parents oblatif.

En grandissant l'enfant apprendrait à rééquilibrer ces relations. Cet apprentissage peut échouer à tel ou tel moment, et l'adulte en gardera un manque de maturité s'il n'en prend pas conscience et une perception de l'amour plus ou moins blessée. Les relations de ses parents entre eux seraient aussi importantes dans la construction de cette idée de l'Amour.

L'Amour en tant que besoin de combler un manque

L'amour peut être perçu essentiellement comme la quête d'un manque, lorsque la notion oblative ne s'est pas développée.

L’amour que l’on porte à une personne ou un objet naîtrait par ce qu'il nous apporte ou est susceptible de nous apporter. "Aimer" ne serait autre qu'une façon inconsciente d'avouer sa propre impuissance à l'autonomie pour un besoin particulier à un moment donné. Besoin d’aimer ou besoin de se sentir aimé ne serait autre qu'un besoin égoïste, qu'une attente de la personne qui pourrait combler les ‘manques’ immatériels ou matériels que nous ne serions pas capables de satisfaire par nous-mêmes. Par exemple, en Occident, le besoin d'un enfant entraînerait le besoin d’une compagne ou d’un compagnon à nos côtés, besoin qui nourrit un sentiment d’amour ou de besoin d’amour pour la personne que l'on attend pour concevoir cet enfant.

En Occident, la réalité psychique du besoin d’enfant résiderait plus dans un besoin de sécurité motivé apparemment par le bien de l'enfant : le nourrir et l'accompagner vers l’âge adulte. Mais cette attitude, apparemment généreuse, sous-tendrait en fait un désir caché du parent d'être accompagné vers la vieillesse.

Dans ce type de situation, « aimer » ou dire « je suis amoureux(se) », serait une façon inconsciente de dire : « j’espère que la personne pour laquelle j’éprouve des sentiments amoureux m’apportera les choses que j’attends d’elle ». Tant que l’on sent chez la personne aimée la présence des choses que l’on attend d’elle, le sentiment perdure, mais si la personne aimée perd ou ne dispose pas d’une partie de ce que l’autre attend, le sentiment d’amour s’estompe ou s’éteint. Lorsque ce sentiment s’estompe, il n’est pas rare d’entendre : « Nos deux chemins se sont séparés » car « mes besoins ont changés », « nous n’avons pas suivi la même route », etc. La personne quittée peut y être plus ou moins indifférente ; si tel n’est pas le cas celui qui est « abandonné » aura probablement un sentiment de jalousie, de colère ou même de haine…

Lorsqu'on analyse ce type de relation, on est tenté d'utiliser des rapport proportionnels et de donner une note de 1 à 100 à l’amour ‘offert’ à la personne aimée; par exemple 75 ; l’autre personne ne pourrait pas aimer au delà de 25… Cette relation amoureuse serait, par définition, déséquilibrée ; si le déséquilibre demeure trop important ; la séparation devient la seule porte de sortie car la relation devient insupportable pour les deux parties tant les reproches, les disputes sont présentes. C'est la personne qui aime le plus qui ferait le plus de reproches ou provoquerait le plus de disputes. L’histoire d’amour qui dure serait une histoire dans laquelle la ‘note’ d’amour des deux belligérants serait proche de 50, une sorte d’équilibre mue par les indispensables projets avoués ou inavouables des deux êtres qui s’aiment.

L'amour équilibré

Le contraire de l'amour serait la haine

Son contraire est la haine. Mais on dit aussi qu'une très mince frontière sépare l'amour (ou la passion) de la haine. Par exemple, le fait de ne pas être aimé peut susciter un sentiment de vengeance envers la/les personne(s) qui est traité comme de la haine ainsi qu'il est écrit plus haut.

Le contraire de l'amour ne serait-il pas l'indifférence ?

L'Amour est un sentiment puissant, une intense émotion, voire une pulsion, ce qui ne suffit pas à l'éloigner de la haine. L'indifférence est donc antagoniste de l'amour : l'indifférent n'est en aucune manière réceptif et attentif à l'autre, ce qui n'est pas le cas d'un ennemi.

Comportements

Zoologie: comportements amoureux chez l'homme et chez le singe

Zoologiquement, la vie et le comportement sexuels de l'homme présentent de nombreux points communs avec ceux des autres primates, et plus généralement avec l'ensemble des mammifères. L'observation de l'espèce la plus proche de l'homo sapiens sapiens, le chimpanzé nain du Congo ou bonobo (Pan paniscus), ainsi que celle des autres grands singes, suggère que l'amour ne serait qu'une forme évoluée de phénomènes existant déjà chez nos cousins sous forme atténuée.

Physiologiquement, le coït tel qu'on l'observe chez l'homo sapiens ne diffère guère de l'accouplement chez les grands singes. En revanche, la séquence amoureuse, des premières approches de la séduction jusqu'à l'accouplement, semble avoir évolué parallèlement à l'hypertrophie du cortex cérébral ayant doté notre espèce au cours de son évolution récente. Les aptitudes à l'idéation, l'imagination, l'anticipation et à la stratégie qui en résultent ont complexifié le processus à l'extrême.

L'attachement durable, la formation de couples relativement stables s'observe également chez nos cousins, mais sans atteindre la diversité des comportements individuels, la durée, et le rôle fondamental de l'imaginaire constatés dans la vie amoureuse humaine.

Un autre facteur qui nous distingue des singes avec d'énormes conséquences, est la disponibilité quasi constante de la femelle humaine à l'accouplement, qui n'existe pas chez les autres mammifères.

Les zoologues se sont en outre intéressés à l'avantage concurrentiel, du point de vue de l'espèce, que donne l'amour tel qu'il se manifeste chez l'homme. Il apparaîtrait comme nécessaire à la sécurisation du couple durant la période d'extrême vulnérabilité des jeunes, elle même suivie de la phase de développement de l'intelligence d'un adulte, moments qui sont, rapportés à leurs équivalents chez les espèces proches, extrêmement longs.

Aspect neurologique et biochimique du sentiment amoureux

Le désir charnel, la passion amoureuse, se caractérise d'un point de vue biochimique par la libération par de phéromones et la modification des taux hormonaux, cet état altéré de l'esprit, inhibant notamment les aires cérébrales associées à la critique de l'autre et à l'ennui, peut durer sur plusieurs années.

Il est intéressant de noter, par exemple, qu'une intervention dans un processus naturel comme l'accouchement, chez les animaux, perturbent l'attachement de la femelle envers son petit. Ainsi, « des brebis parturientes ayant subi une anesthésie péridurale ne manifestent pas de comportement maternel. ».

Relation sexuelle

de la séduction au coït

 

L'amour ne diffère pas fondamentalement dans les diverses cultures humaines, les parades de séduction restant à la base les mêmes en Afrique, en Orient, en Europe ou en Amérique du Nord. C'est plutôt l'attitude à l'égard du désir féminin, dont la répression est fréquente dans beaucoup de sociétés, qui change de forme extérieure.

En général, la parade amoureuse est initiée par la femme, dont l'attitude exprime de façon plus ou moins explicite sa disponibilité. Les hommes tentent de solliciter les femmes ("drague", « séduction », etc.), ainsi un contact sexuel non précédé d'un feu vert féminin plus ou moins tacite n'a que peu de chance d'aboutir.

Cette complexité est sans doute l'une des manifestations les plus flagrantes du conflit entre notre nature d'être pensant évolué et la réalité de l'état de nature d'animal. Les signes d'acceptation féminins sont, selon de nombreuses observations: les œillades, les expressions faciales (le sourire n'étant pas caractéristique, eu égard à sa fonction sociale bien plus étendue), les poignets tournés vers l'avant, (signe d'extrême vulnérabilité), les attouchements, etc. L'homme se risquant moins souvent à ces approches le premier.

La phase suivante, menant au coït, peut prendre de quelques heures à quelques semaines, voire quelques mois. C'est durant cette période que l'amour proprement dit se manifeste.

Il consiste en un état intérieur particulier, généralement euphorique, motivé par l'attente et le désir d'un rapport sexuel avec la personne choisie. Nos facultés intellectuelles donnent lieu à des comportements que l'on n'observe qu'à l'état embryonnaire chez les autres primates. Les partenaires anticipent l'acte sexuel dans l'imaginaire et dans des approches plus concrètes, avec selon les âges et les personnes, des effets physiologiques variables : l'homme est sujet à des érections complètes, voire à des émissions de sperme pendant le sommeil paradoxal, la femme à des sécrétions vaginales presque aussi abondantes que durant un véritable rapport sexuel, voire à des orgasmes complets.


Lors de la phase finale du coït proprement dit, les partenaires stimulent les parties les plus sensibles du corps, notamment les muqueuses extrêmement sensibles des parties génitales. Puis l'homme insère son pénis dans le canal vaginal de la femme.

L'aspect purement physiologique du coït a été soigneusement étudié il y a une quarantaine d'années par deux savants américains, les Dr Master et Johnson, dans un ouvrage célèbre : Les réactions sexuelles (Human Sexual Response).

L'amour dans le monde

Le comportement sexuel varie fort peu suivant les diverses sociétés humaines. Les modes de séduction, de contacts, les parades et les expressions faciales ne présentent que des différences mineures et très extérieures. L'Europe n'a plus le monopole de la représentation massifiée du comportement amoureux; pourtant, les deux grandes industries cinématographiques du monde, occidentale et indienne, montrent de manière saisissante le caractère uniforme des représentations collectives de la sexualité dans des cultures différentes, a fortiori sachant que ces deux cinémas ont chacun une aire d'influence qui va bien au delà au de leurs sphères géographiques propre. Les films Indiens sont depuis longtemps projetés dans tous les cinémas du Moyen-Orient et du monde arabe, tandis que le cinéma occidental a depuis longtemps fait la conquête de Japon et de la zone d'influence chinoise.

Néanmoins certains détails comportementaux sont culturellement acquis. Le baiser avec la langue, par exemple, qui semble naturel en Occident, en Chine, dans le monde arabe, en Inde (civilisations ô combien expertes en matières de raffinements érotiques, du fameux Kâma Sûtra, écrit par le brahmane Vatsyayana vers le débur de l'ère chrétienne] aux contes des mille et une nuits), était probablement inconnu en Afrique subsaharienne avant l'arrivée des Européens. Dans Ma vie secrète, un anonyme licencieux de l'époque victorienne rapporte qu'il a dû « apprendre » cette pratique, qui n'allait pas de soi. Il s'agirait donc d'un trait culturel, mineur, mais réel.

L'homosexualité

 

L'homosexualité est un comportement attesté depuis la plus haute antiquité et fort bien documenté.

Il est indéniable qu'une fraction, faible mais remarquablement constante d'individus sont homosexuels. Ainsi l'homosexualité s'observe tant dans les sociétés où cette inclination est durement réprimée que dans celles qui la tolèrent largement, voire l'encouragent, sans que l'on ait pu établir que cette pratique diminue (même si elle se dissimule) dans les premières ou augmente significativement dans les secondes.

Le caractère inné ou acquis de l'homosexualité fait débat: certains pensent qu'on naît homosexuel, d'autres évoquent des facteurs environnementaux ou culturels, voire un choix conscient. D'autres encore pensent qu'il y a une part d'inné et une part d'acquis.

Soucieuses sans doute de compenser de trop longues périodes de répression, des statistiques ont tendu à exagérer la proportion de personnes homosexuelles, puisqu'on a avancé que jusqu'à dix pour cent des nord-américains seraient homosexuels, avérés ou non. Des travaux menés dans un climat plus serein révèleraient qu'entre 1.5 et 2% des individus sont homosexuels. Le rôle biologique éventuel de ce phénomène très minoritaire, mais structurel et non négligeable, est inconnu.

D'un point de vue psychologique, l'amour entre homosexuels ne diffère pas significativement de l'amour hétérosexuel.

Philosophie

Une question philosophique relative à l'amour se pose : l'homme est-il à la source de l'amour qu'il vit ou l'amour est-il un concept naturel qui s'impose à l'homme ?

Disposition affective

Traditionnellement l'amour est une inclination affective et sexuelle pour une personne de l'autre sexe, par opposition à l'amitié qui serait l'amour pour une personne du même sexe, ou de l'autre sexe, mais sans échanges sexuels. Toutefois l'existence de l'homosexualité tout comme la pratique de relations sexuelles entre amis hétérosexuels contestent cette définition.

Disposition volitive

Vouloir le bien de quelqu'un.

Amour propre

Estime de soi, vision positive de sa personne


L'amour la Littérature

 

L'art poétique et le roman sont, avec la chanson, quelques uns des moyens de prédilection de l'expression verbale de l'amour.

À travers les âges la littérature a reflété des tendances de l'amour, des divinités mythologiques à l'amour réaliste de notre époque.

Citations et proverbes

  • « L'Amour c'est beaucoup plus que l'amour » Jacques Chardonne
  • « Il n'y a aucune différence entre un être sage et un(e) idiot(e) quand ils tombent amoureux. »
  • « La haine excite des querelles, Mais l'amour couvre toutes les fautes. » (Proverbes 10, 12)
  • « Qu'il me baise des baisers de sa bouche ! Car ton amour vaut mieux que le vin. » (Ct 1, 2)
  • « Les grandes eaux ne peuvent éteindre l'amour, Et les fleuves ne le submergeraient pas ; Quand un homme offrirait tous les biens de sa maison contre l'amour, Il ne s'attirerait que le mépris. » (Ct 8, 7)
  • « Les arènes, qui pourrait le croire, conviennent à l'Amour, et, tout bruyants qu'ils soient, souvent une flamme y est née. » (Ovide, L'Art d'aimer)
  • « Mais si, par hasard, tu aimes celle d'âge mûr et plus experte dans l'art de l'amour, la meute sera alors plus abondante. » (ibid.)
  • « Combien, hélas, sentirent ainsi pour une pure étrangère les tourments de l'amour ! » (ibid.)
  • « Quand vous aurez l’amour dans le cœur, la paix règnera en vous. » (dans le Message de Notre Dame de Medjugorje du 25 juillet 2004)
  • « Soyez amour, joie et paix dans ce monde sans paix. » (dans le Message de Notre Dame de Medjugorje du 25 novembre 2003)
  • « Chers enfants, par l'amour vous pouvez tout obtenir, même ce que vous croyez impossible. » (dans le Message de Notre Dame de Medjugorje du 28 février 1985)
  • « L'amour n'est pas seulement un sentiment, il est un art aussi. » (Honoré de Balzac, La recherche de l'absolu)
  • « Persuadez-vous donc, au contraire, que la matière agit par elle-même et cessez de raisonner sur votre amour spirituel, qui n'a rien de ce qu'il faut pour la mettre en action. » (Marquis de Sade, La nouvelle Justine)
  • « Ils agissent par haine. Nous ne cherchons pas la vengeance. Nous cherchons la justice par l'amour. » (George W. Bush, 29 août 2002)
  • « Il faut en revanche redécouvrir la vérité, la bonté et la beauté de l'institution du mariage, qui étant l'œuvre de Dieu à travers la nature humaine et la liberté du consentement des conjoints, demeure une réalité personnelle indissoluble, comme un lien de justice et d'amour, lié depuis toujours au dessein de salut et élevé dans la plénitude des temps à la dignité de sacrement chrétien. » (Jean-Paul II, aux membres du tribunal de la Rote romaine, 29 janvier 2004)
  • « C'est ici mon commandement: Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimés. » (La Bible, Jn 5, 12)
  • « L'amour ne fait point de mal au prochain : l'amour est donc l'accomplissement de la loi » (La Bible, Romains 13, 10)
  • « Aimez-vous les uns dans les autres! » (Marcel et son orchestre)
  • « La magie du premier amour, c'est d'ignorer qu'il puisse finir un jour » (proverbe anglais)
  • "La distance est à l'amour ce que le vent est au feu, elle attise les grands et éteint les petits" (sagesse populaire)
  • "L'amour c'est vouloir donner ce qu'on n'a pas à quelqu'un qui d'ailleurs n'en veut pas."
  • "Plutôt que de polémiquer sur l'amour, faites l'amour et qu'on n'en parle plus" (Jean Roch Donsimoni)
  • « Le verbe aimer est difficile à conjuguer : son passé n'est pas simple, son présent n'est qu'indicatif, et son futur est toujours conditionnel » (Jean Cocteau)
  • "Je suis plus sûr de moi que de l'amour : peut-être que je me mens, mais l'amour me trompe" declara un jour un schizophrène qui venait de tomber amoureux (Jean Roch Donsimoni)
  • "Ma femme et moi nous nous aimons - Mais ne me demandez pas ce que cela veut dire je n'en ai pas la moindre idée" (Jean Roch Donsimoni)
  • "L'amour est une maladie grave dont sont atteints bon nombre de personnes vivants seules." (BLANC G)

 

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